Circuit des forts
Fort du Moulin
Le fort du Moulin domine le port et occupe une position stratégique qui lui permet de veiller au danger venant de la mer.
Edifié sous François 1er en 1531, il est le plus ancien et le plus grand fort de l’île. Le fort est restauré puis remanié en 1634 à la demande de Richelieu qui souhaite réorganiser la défense des îles. Le fort connaîtra ensuite de nombreuses modifications, notamment après sa destruction par les Anglais en 1793.
Il est à l’origine d’œuvres littéraires comme Jean d’Agrève (E.M de Vogüé, 1897) et La voie sans retour (H. Bordeaux, 1902). Dans les années 1920, les écrivains Jules Supervielle, Henri Michaux et Saint-John Perse y résident régulièrement.
Seul monument de l'île à être classé "monument historique", il est dorénavant fermé au public.
Crénilabre paon
Le crénilabre paon (Symphodus tinca) mâle est assez coloré : vert jaune marquées de lignes horizontales tachetées, rouges et bleues. La femelle est brun grisâtre et de plus petite taille. Les deux ont une bande foncée reliant les yeux ainsi qu’une tache noire devant la queue. Lors de la reproduction, les mâles fabriquent un nid dans un recoin de rocher avec des algues et y attirent une femelle par une longue parade nuptiale. Ensuite, ils assurent la surveillance et l’oxygénation des œufs en les ventilant. Parfois, ils adoptent une attitude qui peut paraître étrange : couché sur le côté dans les algues ou immobile la tête légèrement inclinée vers le haut ; cela sert de signal aux petits crénilabres nettoyeurs pour déparasitage.
Girelle paon
La girelle paon (Thalassoma pavo) femelle a un corps finement strié et hachuré de 4 à 6 bandes transversales bleu-ciel, une tache dorsale noire et une tête bariolée de lignes bleu-ciel. Le mâle, vert olive uni, n’a qu’une seule barre bleu bordée de rouge derrière la tête, elle-même marbrée de bleu. Les jeunes ont un corps vert uni avec une tache dorsale très prononcée. N’utilisant que ses petites nageoires pectorales pour avancer, elle n’ondule pas du corps, ce qui lui donne une allure rapide et saccadée. Cette espèce vit surtout près de la surface, autour des rochers couverts d'algues où elle trouve sa nourriture.
Sar à tête noire
Le sar à tête noire (Diplodus vulgaris) est reconnaissable à sa livrée gris-argenté, interrompue par deux bandes transversales noires très marquées, l’une derrière la tête, l’autre couvrant la partie antérieure du pédoncule caudal jusqu à la base de la nageoire dorsale. Espèce grégaire, il se disperse en petits groupes quand il se nourrit sur le fond ou se rassemble, en pleine eau, en bancs stationnaires composés de dizaines d’individus. Il se nourrit de petits invertébrés qu’il trouve parmi les algues des fonds rocheux ou dans les herbiers.
Saupe
La saupe (Sarpa salpa) possède une tête courte avec des yeux bordés de jaune vif, une petite bouche à lèvres épaisses, un corps ovale, allongé, comportant une seule nageoire dorsale et une nageoire caudale peu développée. Sa couleur gris verdâtre est striée d’une dizaine de lignes longitudinales dorées très marquées. Espèce à activité diurne, elle se déplace en bancs denses et très ordonnés au-dessus des herbiers de posidonies et des prairies d’algues dont elle se nourrit.Comme beaucoup d’autres poissons les saupes changent de sexe, mais dans leur cas, ce sont de jeunes mâles qui deviendront femelles ultérieurement.
Padine
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Serran écriture
Le serran écriture (Serranus scriba) a un corps argenté (10-25 cm) strié de bandes verticales sombres irrégulières, queue jaune, tâche bleue sur le ventre chez les adultes. La tête et les opercules branchiaux sont ornementés de motifs bleus et rouges évoquant des signes de la calligraphie arabe. Il défend son territoire contre d’autres poissons de la même espèce. Il chasse à l’affût et se nourrit de petits poissons, de crustacés et de mollusques. La reproduction a lieu au début de l’été : il s’agit d’un hermaphrodite vrai pouvant donc féconder ses propres œufs. Le serran écriture habite les fonds rocheux et les herbiers sous marins jusqu’à une profondeur de 30 m. Il doit son nom aux nombreux stries qui ornent son front.
Girelle commune
La girelle (Coris julis), peu farouche et très active, fréquente les eaux côtières, de la surface jusqu'à 120 m de profondeur. On la trouve dans des zones rocheuses, en bordure d’herbiers ou de sable. Ce petit labridé peut avoir des robes très différentes. Les femelles et les jeunes mâles présentent une ligne blanche horizontale qui sépare le dos de couleur brune, du ventre de couleur claire tandis que le mâle dominant, plus gros, appelé "girelle royale", est plus coloré avec une ligne horizontale orange vif, bordée d’un liseré bleu-vert. Les femelles âgées peuvent devenir des mâles par inversion sexuelle. La nuit, sans doute pour se mettre à l’abri des prédateurs, elles s’enfoncent dans le sable. Elle s’alimente essentiellement de petits crustacés et mollusques et se montre très intéressée par les sédiments soulevés par les mouvements des plongeurs. Très active pendant la journée -sa nage est rapide et saccadée- elle s'enfouit la nuit ainsi que l'hiver.
Herbier de posidonie
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Anémone verte
L’anémone (Anemonia sulcata) ou « ortie de mer », contrairement à son nom et à son apparence, est bien un animal qui vit solidement fixé sur substrat dur à faible profondeur, sa grande souplesse lui permettant de résister aux mouvements des vagues. Sa corolle est constituée de longs et nombreux tentacules aux pointes violacées. Pourvus de cellules urticantes, elle s’en sert pour capturer toutes sortes d’animalcules. Cependant, certaines espèces sont insensibles au venin et trouvent refuge auprès d’elle comme l'araignée Inachus phalangium et le gobie rayé Gobius buchichii.
La faune fixée
Castagnole
Les castagnoles (Chromis chromis) sont des poissons diurnes, mangeurs de zooplancton, qui vivent en grands bancs au-dessus des fonds rocheux ou des herbiers dans lesquels ils se réfugient la nuit pour dormir. Les individus solitaires sont le plus souvent les mâles qui préparent un lieu de ponte dans la roche ou qui ventilent et protègent les œufs. Ce sont de petits poissons de 7 à 10 centimètres. Caractéristiques : Les jeunes arborent pendant quelques mois une magnifique couleur bleu fluorescent.
Mérou brun
Le mérou (Epinephelus marginatus) a un corps trapu, une mâchoire légèrement prognathe et lippue, deux gros yeux mobiles qui lui donnent un regard expressif. De couleur brune, sa robe change de teinte et de dessins en fonction des individus, du comportement et de la couleur du fond. Ce poisson sédentaire et placide, peut vivre 40 à 50 ans et n’atteint sa maturité sexuelle qu’à partir de 5 ans. Vers 9-12 ans, il change de sexe : femelle à sa naissance, il devient mâle. Prédateur vorace, il se nourrit de poulpes, calmars, crustacés et divers poissons. Sa position de prédateur au sommet de la chaîne alimentaire lui donne un rôle de régulateur des espèces. Un équilibre s’établit progressivement entre les habitats, les proies disponibles et la densité des mérous. A ce titre, il est considéré comme un bon indicateur de la qualité du milieu.
Pêche interdite dans les eaux territoriales de Méditerranée occidentale (arrêté du 23 décembre 2013).
Pour en savoir +
Castagnole
Les castagnoles (Chromis chromis) sont des poissons diurnes, mangeurs de zooplancton, qui vivent en grands bancs au-dessus des fonds rocheux ou des herbiers dans lesquels ils se réfugient la nuit pour dormir. Les individus solitaires sont le plus souvent les mâles qui préparent un lieu de ponte dans la roche ou qui ventilent et protègent les œufs. Ce sont de petits poissons de 7 à 10 centimètres. Caractéristiques : Les jeunes arborent pendant quelques mois une magnifique couleur bleu fluorescent.
Chapon
Le chapon (Scorpaena scrofa), aussi appelé «grande rascasse rouge » en raison de sa couleur remarquable qui n’apparait pas dans la pénombre des profondeurs, est couvert de protubérances et a un air particulièrement patibulaire. Grâce à sa robe marbrée, il bénéficie d’un excellent camouflage, aidé en cela par la présence de lambeaux de peau sur sa mâchoire inférieure, qui imitent les algues environnantes et le distingue des autres rascasses qui n’en n’ont pas. Comme elles, sa nageoire dorsale est armée d’épines venimeuses. Certain de la discrétion de son camouflage naturel, il fuit peut devant l’objectif, et chasse à l’affût petits poissons, mollusques, et céphalopodes. Très vorace, les grosses prises ne lui font pas peur, car sa bouche protractile, peut s’agrandir et s’allonger à l’envie.
Langouste
Mostelle
Sa nageoire dorsale est divisée en deux : la partie antérieure est courte et arrondie, tandis que la postérieure est longue et s'étend jusqu'au pédoncule caudal.
Sa mâchoire inférieure porte un barbillon dirigé vers l'avant, véritable organe sensoriel utilisé pour la détection des proies. Les deux nageoires pelviennes sont des filaments bifides que la mostelle maintient en contact avec le ol quand elle est immobile.
Active essentiellement la nuit pour se nourrir de crustacés et de petites poissons, enne se réfugie pendtan la journée dans une anfractuosité rocheuse ou une grotte.
Rascasse rouge
L'épave du Wildcat
Herbier de posidonie
Elle possède des racines, des rhizomes, de longues feuilles en lanière, et produit des fleurs qui se transforment en fruits nommés «olives de mer». Espèce endémique de Méditerranée, elle porte à tort le nom d’espèce oceanica. Elle forme de vastes herbiers qui rendent d’innombrables services écologiques: oxygénation des fonds, frayères et nurseries à poissons, supports d’épiphytes, forte production de matière organique, fixation des fonds et protection très efficace du littoral contre l’érosion.
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Tripterygion à bec rouge
Le tripterygion à bec rouge (Tripterygion tripteronotus) est un petit poisson (10cm) au corps allongé et fin, au museau assez pointu. Il porte un tentacule ramifié au-dessus de chaque narine et de chaque œil. C'est une espèce caractérisée par trois nageoires dorsales et par un dimorphisme sexuel très marqué : la femelle, brun clair, maîtrise mieux l’art du camouflage tandis que le mâle a le corps rouge à orange, la tête noire et une tache noire à l’arrière de la première nageoire dorsale.Il attire la femelle sur son territoire pour qu’elle y dépose ses œufs en effectuant des petits sauts en zigzag. Le triptérygion vit en couple bien que la femelle fraye successivement avec plusieurs mâles.
Congre
Le congre (Conger conger) vit dans les cavités ou failles rocheuses et épaves, il fréquente aussi les fonds meubles dégagés en profondeur. Sa peau est recouverte d'un épais mucus. De couleur uniforme grise à noirâtre, le ventre est plus clair, les nageoires dorsale et anale sont bordées de noir.Sa tête est légèrement aplatie, sa dentition est fine, pointue et très coupante. Ses opercules sont profilés et dilatables : ils laissent apparaître un petit orifice branchial. Il est actif pendant la nuit. La pleine lune est un facteur qui freine considérablement son activité. Dans des eaux de profondeur supérieure à 50 mètres, il a également des moments d'activité en cours de journée.Sa reproduction a lieu généralement après une longue migration vers le large et est accompagnée de profonds changements physiologiques qui lui donnent un aspect boudiné.
Girelle paon
La girelle paon (Thalassoma pavo) femelle a un corps finement strié et hachuré de 4 à 6 bandes transversales bleu-ciel, une tache dorsale noire et une tête bariolée de lignes bleu-ciel. Le mâle, vert olive uni, n’a qu’une seule barre bleu bordée de rouge derrière la tête, elle-même marbrée de bleu. Les jeunes ont un corps vert uni avec une tache dorsale très prononcée. N’utilisant que ses petites nageoires pectorales pour avancer, elle n’ondule pas du corps, ce qui lui donne une allure rapide et saccadée. Cette espèce vit surtout près de la surface, autour des rochers couverts d'algues où elle trouve sa nourriture.
Girelle commune
La girelle (Coris julis), peu farouche et très active, fréquente les eaux côtières, de la surface jusqu'à 120 m de profondeur. On la trouve dans des zones rocheuses, en bordure d’herbiers ou de sable. Ce petit labridé peut avoir des robes très différentes. Les femelles et les jeunes mâles présentent une ligne blanche horizontale qui sépare le dos de couleur brune, du ventre de couleur claire tandis que le mâle dominant, plus gros, appelé "girelle royale", est plus coloré avec une ligne horizontale orange vif, bordée d’un liseré bleu-vert. Les femelles âgées peuvent devenir des mâles par inversion sexuelle. La nuit, sans doute pour se mettre à l’abri des prédateurs, elles s’enfoncent dans le sable. Elle s’alimente essentiellement de petits crustacés et mollusques et se montre très intéressée par les sédiments soulevés par les mouvements des plongeurs. Très active pendant la journée -sa nage est rapide et saccadée- elle s'enfouit la nuit ainsi que l'hiver.
Spirographe
NOM SCIENTIFIQUE
Sabella spallanzanii
CLASSIFICATION
Annélides polychètes
TAILLE
20-35 cm
HABITAT(S)
Substrats durs, vaseux ou sableux, herbiers
PROFONDEUR
5-50 m
PÉRIODE DE REPRODUCTION
Été-automne, ponte en hiver
FRÉQUENCE
Commun
Chapon
Le chapon (Scorpaena scrofa), aussi appelé «grande rascasse rouge » en raison de sa couleur remarquable qui n’apparait pas dans la pénombre des profondeurs, est couvert de protubérances et a un air particulièrement patibulaire. Grâce à sa robe marbrée, il bénéficie d’un excellent camouflage, aidé en cela par la présence de lambeaux de peau sur sa mâchoire inférieure, qui imitent les algues environnantes et le distingue des autres rascasses qui n’en n’ont pas. Comme elles, sa nageoire dorsale est armée d’épines venimeuses. Certain de la discrétion de son camouflage naturel, il fuit peut devant l’objectif, et chasse à l’affût petits poissons, mollusques, et céphalopodes. Très vorace, les grosses prises ne lui font pas peur, car sa bouche protractile, peut s’agrandir et s’allonger à l’envie.
Fort de Port-Man
Situé à l’extrémité Est de l’île, le fort domine la baie de Port-Man et la passe des Grottes, entre Port-Cros et Le Levant. Construit sous Richelieu, il s’uni parfaitement au promontoire rocheux étroit sur lequel il se trouve. Jusqu’à son désarmement en 1881, il subit de multiples restaurations mais sous l’action corrosive de l’air marin, il continue à se dégrader fortement. Devant l’importance des restaurations à effectuer, le Parc national de Port-Cros le concède par bail emphytéotique de 40 ans au photographe Yann Arthus-Bertrand qui le restaure ensuite avec succès en 2009.
Gorgone blanche
Fortin de la Vigie
Autrefois lieu de séjour pour les écrivains de la Nouvelle Revue Française à l’origine de nombreuses œuvre littéraires, il est réquisitionné à partir de 1939. Tout d’abord utilisé par l’armée Française, les troupes italiennes puis allemandes, le débarquement des forces alliées s’y passe le 15 août 1944. Actuellement propriété de la Marine nationale, il est désormais fermé au public.
Herbier de posidonie
Elle possède des racines, des rhizomes, de longues feuilles en lanière, et produit des fleurs qui se transforment en fruits nommés «olives de mer». Espèce endémique de Méditerranée, elle porte à tort le nom d’espèce oceanica. Elle forme de vastes herbiers qui rendent d’innombrables services écologiques: oxygénation des fonds, frayères et nurseries à poissons, supports d’épiphytes, forte production de matière organique, fixation des fonds et protection très efficace du littoral contre l’érosion.
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Fort de l'Eminence
De part son emplacement élevé (140 m) et son architecture particulière, il complète le dispositif de défense de l’île au 19ème siècle.
Le fort de l'Eminence a été construit à la place d'un premier fortin construit vers 1635-1640 qui fut détruit par les Anglais en 1793.
Sa construction s’étale de 1814 à 1876.
Lors de la préparation du débarquement en Provence, les bombardements alliés d'août 44 laissent des traces encore visibles sur le rempart Ouest. Ce fort est maintenant géré et animé par la Ligue de l'Enseignement-FOL du Var qui y accueille des séjours éducatifs et de loisirs. Il est ainsi fermé au public.
Fort de l'Estissac
Situé sur la crête Nord principale de l’île, le fort de l'Estissac offre un magnifique panorama sur la rade d’Hyères.
Edifié sous Richelieu en 1635, les Anglais le détruisent en 1793 pendant la révolution Française. Le fort est reconstruit et agrandit en 1810 avec l’ajout d’un corps d’habitation. Il est finalement restauré et devient un lieu d’exposition après son affectation au Parc National de Port-Cros au 20ème siècle.
L'ouvrage est composé d'une tour à canons cylindriques à deux niveaux. La tour était à l'origine circulaire et présente une forme tronquée aujourd'hui. Le toit de la tour est construit en forme d'impluvium afin de récupérer l'eau de pluie qui était acheminée jusqu'à la citerne située en dessous.
Le nom du fort vient du premier commandant, le baron de l'Estissac.
Description
- A partir de la Maison de Parc, descendre les escaliers et tourner à gauche après le bureau de poste, en direction du fort du Moulin.
- Contourner le fort du Moulin. En face du pont-levis, prendre le chemin qui part en direction de la plage de la Palud.
- Possibilité de choisir entre la variante "Plage de la Palud par le sentier des plantes" ou de rester sur le sentier principal.
- A la Plage de la Palud, traverser la plage puis monter les escaliers qui se trouvent au bout. Continuer sur le chemin.
- Après un kilomètre environ, continuer sur le sentier qui tourne légèrement à gauche, direction "Port Man par la Galère". Continuer jusqu'à la Pointe de la Galère puis longer la baie de Port Man.
- Suivre la direction "Plage de Port Man". Traverser la plage puis rejoindre la route et prendre à gauche, vers le fort de Port Man.
- Aller au fort de Port Man puis revenir sur ses pas. Au panneau, continuer tout droit sur la route pendant environ trois kilomètres, en direction de la Sardinière / le village.
- A la Sardinière, prendre le petit sentier qui part sur la droite, en direction du fortin de la Vigie.
- Au fortin de la Vigie, redescendre la route des forts qui mène jusqu'au village, en passant par le fort de l'Eminence et de l'Estissac.
- Départ : Maison de Parc de Port-Cros
- Arrivée : Maison de Parc de Port-Cros
Profil altimétrique
Recommandations
En fonction des niveaux de risque incendie, les massifs forestiers peuvent être fermés au public.
Lieux de renseignement
Capitainerie de Port-Cros
Le port Port-Cros, 83400 Hyères
http://www.portcros-parcnational.fr/fr/des-decouvertes/une-destination-dexception/la-mer-et-les-fonds-marins/le-port-de-plaisance-de-port
capitainerie@portcros-parcnational.fr
04 94 01 40 72
Horaires d'ouverture :
Du 01/04 au 31/10 : 8h00-18h45.
Maison de Parc de Port-Cros
Promenade de la Rade, 83400 Hyères
http://www.portcros-parcnational.fr
accueil.pnpc@portcros-parcnational.fr
04 94 01 40 70
Elle comprend par ailleurs une boutique de souvenirs.
Horaires d'ouverture :
Du 01/04 au 31/10/2021 : tous les jours 9h-12h45 et 15h30-17h30.
Office de Tourisme d’Hyères
16 avenue de Belgique, 83400 Hyères
http://www.hyeres-tourisme.com
accueil@hyeres-tourisme.com
04 94 01 84 50
Horaires d'ouverture :
Du 01/04 au 30/06 et du 01/09 au 30/09 : Du lundi au vendredi de 9h à 18h. Le samedi de 9h à 16h. Fermé le dimanche.
Du 01/07 au 31/08 : Du lundi au samedi de 9h à 18h. Le dimanche de 9h à 13h.
Du 01/10 au 31/12 : Du lundi au vendredi de 9h à 17h. Le samedi de 9h à 16h. Fermé le dimanche.
Transport
Hyères centre – Port Saint-Pierre
Ligne de bus 67
Pour consulter les horaires, consulter https://www.reseaumistral.com
Accès routiers et parkings
Stationnement :
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